Quelques changements sur le site de Zero Yen dans les jours à venir.
Hello les amis,
Dans les jours qui viennent, vous allez remarquer deux bandeaux de publicité sur notre site flambant neuf : un en haut de page et un sur le côté de chaque news et article. « Quoi ? De la pub ! Mais c’est n’importe quoi ! », nous direz-vous.
Pourquoi un tel changement ? Bien que nous souhaitions vous proposer un site complètement dépourvu de publicités, il devient difficile pour nous de payer l’hébergement et les noms de domaines associés. Pour être totalement transparent, ces frais étaient supportés jusqu’à présent par votre humble serviteur et ses propres deniers. Alors certes, le montant annuel n’est pas énorme mais c’est un petit budget tout de même.
Ensuite, nous essayons toujours de rassembler des fonds pour sortir notre numéro 5 du magazine papier (une vraie arlésienne celui-ci !) et cela se révèle plus ardu qu’auparavant. Une partie des revenus publicitaires servira aussi à alimenter cette cagnotte qui grimpera suffisamment vite, nous l’espérons, pour vous concocter un magazine aux petits oignons dès que possible.
Comme vous le remarquerez assez vite, ces publicités ne sont pas intrusives et ne vous empêcheront pas de consulter le contenu du site tranquillement, contrairement à certains sites qui usent et abusent du procédé. Comme expliqué ci-dessus, elles sont ici pour « la bonne cause ».
Il nous semblait important de vous expliquer le pourquoi du comment car vous êtes un certain nombre à nous suivre depuis le début et nous souhaitons vous garder avec nous encore longtemps chers lecteurs ! En effet, un site (et un magazine) sans lecteurs, ce n’est qu’une coquille vide… Bref, la décision n’a pas été facile (soyons réalistes, personne n’aime vraiment la pub…) mais on espère très sincèrement qu’elle ne vous perturbera pas trop.
Encore une fois, nous tenons à vous remercier de votre fidélité après nos 5 années d’existence et sachez que nous continuerons tant que la flamme de la passion brûlera en nous ! (et pas de soucis de ce côté-là, elle est plus vive que jamais !)
– Ghis